Cet événement annuel trouve ses origines à Chicago, le 1er mai 1886, suite à un mouvement des syndicats américains revendiquant la journée de travail de 8 heures. Trois ans après, le 1er mai est proclamé « Journée internationale des travailleurs » à Paris par le congrès de la IIe Internationale socialiste. La date sera rendue par la suite fériée sous le régime de Vichy en 1947.

Depuis, de multiples travaux visant à améliorer le quotidien des travailleurs ont vu le jour. Le ministère du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion regroupe en ligne sur son site travail-emploi.gouv.fr les droits de ces derniers. 

 

Les revendications des salariés ont évolué au fil du temps. Majoritairement, ceux-ci expriment une volonté :

 

Préventica organise depuis 25 ans, sous le haut patronage des ministères du Travail et de la Santé, des « rencontres » au cours desquelles se tiennent des conférences animées par des speakers de renoms, des animations et autres présentations de solutions innovantes sur les thématiques de la santé, de la sécurité et de la qualité de vie et des conditions de travail. Celles-ci sont l’occasion :

  • pour les chefs d’entreprise de s’informer et de se former à de nouvelles pratiques de travail pour répondre autant que possible aux besoins de leurs collaborateurs,
  • pour les salariés de faire un bilan de leurs attentes professionnelles et d’entrevoir de nouvelles perspectives.

 

Cette année, elles auront lieu à :

  • Paris les 23, 24 et 25 mai 2023,
  • Toulouse les 19, 20 et 21 septembre 2023.

 

La fête du travail est le symbole même de lutte pour l’amélioration des conditions de travail. Lutte qui aujourd’hui encore se poursuit et pour laquelle tout un chacun est invité à œuvrer pour participer à la construction d’un monde du travail meilleur.

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